je rejoins tes propos Mille ouins sur le fait que le vivant est en perpétuelle mutation, la compétitivité entre proies et prédateurs en est un exemple. Par contre n'étant pas du groupe sanguin A+ je revendique mon droit à l'existence ....

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Un truc qui m'amuse, c'est que peu de monde refuse les mutations quand il s'agit d'animaux domestiques, qui possède un dingo comme chien de compagnie ou un lapin de garenne comme rongeur domestique (ah si, il y a quelqu'un (e) 
) ça n'ennuie personne d'avoir des bestiaux qui produisent plus de viande ou de lait que ce qu'il avaient été prévu de fabriquer au départ, idem pour les oeuf, mais là il s'agit peut être d'un autre problème .....
Est ce que les oiseaux que nous détenons depuis de nombreuses générations sont encore des animaux sauvages ???, la domestication, par le fait que la vie de ces bestioles est beaucoup plus confortable, active ce phénomène.
quoi qu'il en soit, mon avis est le suivant, ceux qui aiment les mutations en produisent et ceux qui ne les aiment pas n'en font pas, chacun son truc et chacun son objectif, en évitant bien entendu, les propos moralisateurs et les agressions ; il est bien plus facile de produire des oiseaux en phénotype sauvage que des mutants, la sélection peut être faite dans ces différents objectifs.
En élevage d'autres espèces, par exemples les chiens, malgré le nombre important de bâtards et de corniauds, les éleveurs savent maintenir et développer des races pures, ce qui ne présente pas une grande différence dans le travail de sélection que le maintien d'espèces pures sans gène mutant. Afin de mettre tous les atouts de son coté il suffirait peut être d'acquérir ses oiseaux chez un éleveur offrant des garanties d'oiseaux "type sauvage" au lieu de chercher l'affaire du siècle dans les bourses d'échanges, les PA, ou chez les ramasseurs ...
à quand un pedigree pour nos piafs ?